Je veux vivre – Jenny Downham

Titre : Je veux vivre | Titre VO (Anglais) : Before I Die | Auteure : Jenny Downham | Année de publication originale : 2007 | Nombre de pages : 393 pages

Quatrième de couverture : 

Tessa vient d’avoir seize ans et se sait condamnée. Dans quelques semaines, elle mourra d’une leucémie. Partagée entre la révolte et l’angoisse, l’injustice et les aspirations propres à son âge, Tessa décide de tout connaître de la vie avant de mourir, y compris les transgressions, la célébrité… Aidée de sa meilleure amie, de ses parents qui acceptent tout, Tessa se lance alors dans une course contre la montre, contre la mort, pour vivre !

Mon avis : J’inaugure ma toute nouvelle adhésion à une médiathèque digne de ce nom par cet emprunt : Je veux vivre ! Un livre du fond de ma wish-list que j’ai enfin pu lire cette semaine.

Je crois que je n’ai jamais reçu autant de commentaires que ce soit sur mon suivi lecture ou sur mon blog tous identiques : « il est génial, tu vas pleurer ! ». Je l’ai donc vite commencé et j’ai adoré.

Dans ce livre plutôt populaire, on retrouve une jeune adolescente Tessa, condamnée car son cancer est devenu trop important pour être soignée. Elle décide alors dans le répit qu’il lui reste de vivre sa vie à fond et de dresser une liste de choses à faire avant de mourir comme « coucher avec un garçon », « essayer la drogue », « devenir célèbre » ou encore « rabibocher papa et maman ». Grâce à sa meilleure amie et à son père, elle va vouloir aller jusqu’au bout.

Bon on va pas se mentir, le thème principal de ce livre étant le cancer, on est un peu « obligé » de le comparer à TFIOS de John Green. J’ai d’ailleurs trouvé une grande différence majeure qui m’a frappée : la douleur. Autant j’ai vraiment adoré TFIOS, autant on a que très peu de détails médicaux sur le traitement et on a pas cette impression de douleur et de maladie vu que l’histoire et basée sur l’histoire justement. Ici, l’auteure nous décrit ses traitements quotidiens et la douleur ressentie par Tessa ce que j’ai bien aimée.

Concernant les personnages, j’ai trouvé Zoey et Tessa détestables (du moins au début). Zoey me sortait par les yeux jusqu’à ce qu’elle révèle son « secret ». Quant à Tessa, elle l’a été presque jusqu’au bout. D’accord elle a des circonstances atténuantes  mais ça me faisait mal pour son père, comment elle lui parlait et on dirait qu’elle s’en fichait. Par contre, j’ai adoré le petit frère Cal, trop jeune pour avoir à supporter tout ça et franchement trop mignon. Si ma petite soeur avant été un petit frère, j’aurais vraiment bien voulu le même !

Bon, comme je vous l’ai dit plus haut, on m’a dit maintes et maintes fois que j’allais pleurer et contre tout attente, la grande madeleine que je suis n’a pas pleuré. Cependant, j’ai vraiment été très émue et j’ai adoré la fin écrite par Jenny Downham. C’est, je pense, ce qui rend le livre si magnifique et spécial. C’est ce qui nous met une bonne claque et qui nous donne une vraie leçon de vie.

Si j’ai beaucoup aimé cette fin, je suis cependant restée sur ma faim (badum tss) en ce qui concerne les autres personnages. Je veux savoir ce qui leur arrive après. Je vais faire ma Hazel et envoyer une lettre à Jenny si ça continue de m’obséder comme ça haha.

En rédigeant cet article, j’ai vu qu’une adaptation cinématographie de ce livre était sortie en 2012 avec Dakota Fanning (de Twilight) dans le rôle de Tessa et Jeremy Irvine dans le rôle d’Adam. J’ai réussi à me le procurer et je vais le regarder bientôt. Je vous en reparlerais ! En attendant, BANDE-ANNONCE.

Un livre à lire absolument, c’est tout.

Ma note : 9/10